L’étude, qui porte sur des pays comme l’Algérie, la Biélorussie, la Géorgie, Israël, la Jordanie, la Moldavie, la Palestine et l’Ukraine, met en évidence une nette tendance : dans tous les pays, les femmes participent moins que les hommes à la formation professionnelle. Compte tenu de la hausse de l’employabilité que permet ce type de formation, la conséquence naturelle de cette tendance est un niveau inférieur d’opportunités ou de perspectives d’emploi pour les femmes. La proportion de jeunes femmes inscrites à des programmes de formation professionnelle dans l’enseignement secondaire supérieur représente moins de 10 % dans des pays comme la Géorgie et l’Algérie.
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