La troisième réunion du comité de pilotage du projet Clima-Med s’est tenue virtuellement le 1er avril en collaboration avec la Direction générale de la politique européenne de voisinage et des négociations d’élargissement (DG NEAR). L’équipe de Clima-Med a rendu compte des progrès réalisés par le projet au niveau régional sur une période de deux ans, de l’engagement des autorités nationales et locales, ainsi que de la préparation des activités prévues pour la prochaine phase.

Plus de 50 participants ont pris part aux sessions du matin et de l’après-midi, aux côtés des institutions et ministères partenaires, des points focaux et des représentants des municipalités des huit pays de la Méditerranée méridionale couverts par le projet. Les représentants de l’Union européenne ont réaffirmé leur engagement à poursuivre leur travail sur l’action pour le climat et ont annoncé que l’UE consacrera 30 % du financement prévu à l’action extérieure relative au changement climatique. Ils ont également présenté le pacte vert de la Commission européenne et ont insisté sur l’importante dimension externe de cette initiative.

Les présentations et les discussions ont porté sur les résultats obtenus et le plan de travail proposé, couvrant tous les thèmes clés couverts par le projet, tels que : l’accès au financement de l’action climatique pour la mise en œuvre des plans d’action en faveur d’un accès à une énergie durable et du climat (PAAEDC), les progrès et les défis dans la préparation des PAAEDC pour 80 villes et le rôle important du service d’assistance, la mise en place de la Convention des Maires pour la Méditerranée (CoM Med) et son site web, la stratégie d’action pour le climat (CAS) élaborée pour chaque pays, et les actions de communication prévues.

Le projet « Clima-Med – Agir pour le climat dans le sud de la Méditerranée », financé par l’UE, vise à soutenir la transition des pays partenaires vers un développement durable, faible en carbone et résilient au climat. L’objectif global de l’initiative est d’améliorer la sécurité énergétique et la capacité d’adaptation des pays partenaires et de contribuer ainsi à des contextes socio-économiques plus stables, efficaces, compétitifs et résistants au climat, tout en renforçant la souveraineté énergétique et en réduisant les émissions de CO2. 

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Communiqué de presse

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