Le G7 se termine aujourd’hui, on a passé trois jours à travailler pour tenter d’aligner les positions des grandes démocraties dans le monde.
La priorité c’est de faire en sorte que l’on puisse répondre à la demande de vaccins et on voit que l’Union européenne a pris le leadership sur ce sujet. Nous sommes maintenant rejoints par des partenaires pour accélérer le mouvement, la production et les livraisons de doses de vaccins partout.
On voit aussi cet enjeu fondamental des démocraties libérales, des sociétés ouvertes qui doivent faire face à la pression des régimes autoritaires. Cela a donné lieu à la capacité de rassembler nos forces dans le cadre de ce G7 pour tenter pas seulement de réagir quand on est attaqué ou mis sous pression pour vraiment faire en sorte que l’on puisse propager nos valeurs positives de liberté, d’état de droit, de respect pour les droits de l’homme.
Enfin, un point qui me tient particulièrement à cœur, c’est l’engagement pour l’Afrique. On était en Europe quelques uns depuis quelques années maintenant à considérer que cet engagement pour l’Afrique devait être au cœur de l’avenir des relations internationales. On a vu s’aligner, se rassembler, s’unifier les positions de plus en plus sur ce sujet ces derniers temps. Là aussi, nous avons pu convaincre nos partenaires de mobiliser davantage de moyens pour développer une stratégie gagnant-gagnant pour l’Afrique et pour l’Europe.