Les salutations ressemblent à celles entre bons amis. Poignées de main, sourires et embrassades. Le lieu est le Département de la protection de la famille et des mineurs de Bethléem (FJPD), qui fait partie de la police civile palestinienne (PCP), où se déroulent les séances de formation de l’EUPOL COPPS FJPD.
C’est ici, avec les officiers clés de cette équipe, que le chef de section, Mohammad Ghannam, a rencontré Anna Sanden, experte en protection de la famille et des mineurs de l’EUPOL COPPS, et Marie Hummer, conseillère principale de police pour la police générale, toutes deux de Suède, avant la séance de travail pratique qui a eu lieu le 21 janvier. Les discussions préalables à la formation ont porté sur la coopération en cours entre les différents départements de la PCP entre eux et avec la Mission, y compris sur l’utilisation des tablettes.
En collaboration avec la capitaine de la police de la police de Judée-Samarie, âgée de 30 ans, et ses collègues, capitaine et officier d’enquête et de gestion, les conseillers de l’EUPOL COPPS ont convenu d’une séance de coaching pour la journée axée sur les méthodes permettant de constituer un dossier solide fondé sur des preuves, notamment sur les crimes à caractère sexuel. Les SOP de Cisjordanie sur la protection des mineurs, rédigées avec la participation de conseillers juridiques, d’acteurs internationaux, tels qu’ONU Femmes, de tribunaux et d’organisations de la société civile (OSC), ainsi que le rôle que l’EUPOL COPPS peut jouer à cet égard compte tenu de son expertise pratique en la matière, ont également été abordés au cours de la session.
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