Le Jour de la Terre fête ses 50 ans dans un contexte de pandémie mondiale et de dérèglement climatique

Avril 22, 2020
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Cinq ans après la signature de l’Accord de Paris et l’adoption des Objectifs de développement durable, le monde fait face à un barrage. La pandémie de coronavirus ne nous arrêtera pas. D’un autre côté, elle nous rappelle les enjeux de notre combat pour la planète, où les pandémies et les événements climatiques extrêmes concernent le monde entier, mettant ainsi encore plus en péril les communautés déjà vulnérables.

Si le coronavirus nous oblige à garder nos distances, il ne nous contraindra pas à garder le silence. Nous sommes peut-être séparés physiquement, mais grâce à la puissance des médias numériques, nous sommes aussi plus connectés que jamais. Nous sommes tous dans le même bateau, ici sur cette terre.

La santé humaine et la santé planétaire sont étroitement liées. Pour protéger l’une, nous devons protéger l’autre. Des millions de personnes ont fait bloc derrière cette idée de créer le premier Jour de la Terre en 1970 et, 50 ans plus tard, nous devons à nouveau faire bloc.

Nous devons créer la mobilisation en ligne la plus importante et la plus diversifiée de l’histoire pour la défense de l’environnement. Notre monde a besoin d’une réponse commune pour une action audacieuse.

En ce Jour de la Terre 2020, nous voulons dire que c’en est trop, que l’urgence n’a jamais été aussi grande et que les enjeux n’ont jamais été aussi importants – nous sommes maintenant face à une urgence environnementale et à un dérèglement climatique.

 

Pour en savoir plus

Communiqué de presse

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