La consolidation de la paix et la fin de la guerre exigent que le processus politique mené par l’ONU aille de l’avant. C’est pourquoi nous rassemblons la communauté internationale, avant tout, pour appuyer une solution politique facilitée par l’ONU et prise en charge par la Syrie. Nous restons convaincus que seule une solution politique trouvée dans le cadre des négociations menées sous l’égide de l’ONU peut garantir un avenir véritablement pacifique à une Syrie unie et réconciliée qui préserve la diversité de sa population.
Ces deux journées de dialogue, permettez-moi de le dire, ne sont que la partie émergée de l’iceberg; elles sont le résultat d’un processus de consultation que nos équipes ont mené avec la société civile et les ONG à Amman, Beyrouth, Gaziantep, Ankara, Bruxelles et sur le web, et leurs voix sont au cœur de nos réunions cette semaine ici à Bruxelles. Elles représentent la Syrie, et nous sommes ici pour leur donner une voix et pour essayer d’appuyer leurs travaux.
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