Les sommes d’argent que les migrants du Moyen-Orient et du Maghreb envoient à leurs familles seront en baisse cette année de 19.6% par rapport à l’année dernière, selon la Banque Mondiale. Celle-ci indique que les émigrés sont plus vulnérables par rapport à la perte de leur emploi ou la diminution des salaires en raison de la COVID-19 ainsi que la détérioration de la situation économique dans les pays du Golfe en raison du prix peu élevé du pétrole.
Cette diminution d’envoi de fonds affecte l’un des transferts économiques de l’étranger qui génère le plus de croissance économique dans les pays du Moyen-Orient et du Maghreb, selon ce nouvel aperçu en ligne d’un article devant être publié dans le prochain Annuaire Méditerranéen 2020 de l’IEMed.