Le 2 Avril 2019, Abdelaziz Bouteflika a démissionné de la présidence algérienne après 20 ans au pouvoir. Cependant, sa démission était loin d’arrêter le mouvement populaire Hirak, qui continue à mener des changements importants dans la gouvernance du pays.
Lors des élections présidentielles de décembre 2019, l’armée ne souhaitait plus être au premier plan du débat public mais la victoire de son candidat, Abdelmajid Tebboune, avec une abstention massive qui affaiblit sa légitimité, n’a fait qu’attiser la revendication de Hirak pour un état non militaire.
Voici un aperçu en ligne d’un article devant être publié dans le prochain Annuaire Méditerranéen 2020 de l’IEMed qui examine le rapport de force, l’influence de l’armée et du mouvement populaire Hirak en Algérie en ces temps de Covid-19.