L’UE a appelé les autorités égyptiennes « à permettre aux organisations de la société civile et aux défenseurs des droits de l’homme d’opérer en toute indépendance, tel que garanti par la Constitution égyptienne et conformément aux normes internationales en matière de droits de l’homme », à la suite de la décision d’un tribunal égyptien de geler les avoirs de défenseurs des droits de l’homme.