Le projet financé par l’UE « Renforcement des capacités de gestion intégrée des frontières au Liban » améliore la coopération entre les autorités civiles et militaires dans les villages frontaliers fragiles

Juin 24, 2022
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© ICMPD

Depuis quelques années, les villages libanais fragiles frontaliers de la Syrie voisine, déchirée par un conflit, doivent faire face aux répercussions de l’insurrection syrienne, tout en subissant les effets de la détérioration des crises économiques, de l’instabilité sociale grandissante et de la pression croissante sur des ressources limitées.

Pour soutenir ces régions frontalières instables, à savoir le Akkar et le district de Baalbek, restaurer la stabilité et consolider les relations avec les agences chargées d’assurer la sécurité aux frontières, le projet financé par l’UE « Renforcement des capacités de gestion intégrée des frontières au Liban » (UE-GIF Liban, Phase 3) a signé un accord de partenariat avec le Groupe multinational CIMIC (MNCG), affilié à l’OTAN, au premier trimestre 2021.

Pendant huit mois, une série d’initiatives CIMIC reposant sur le programme du MNCG ont été déployées afin de fournir une assistance technique aux autorités frontalières libanaises. Quelque 160 officiers, hommes et femmes, des Forces armées libanaises, des Forces de sécurité intérieure, de la Direction générale de la sécurité et de la défense civile se sont réunis et ont partagé leurs expériences, faisant ainsi une démonstration exemplaire de la collaboration entre fonctionnaires pour servir les communautés locales.

Pour plus d’informations

Communiqué de presse

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Pays couverts :

  • Liban