Lors d’une conférence consacrée à la justice pénale, des praticiens et des experts des pays partenaires du Sud (PPS) et des États membres de l’Union européenne ont discuté des moyens à mettre en œuvre pour aider les autorités judiciaires et les services répressifs à appliquer les normes de protection des données lors de la collecte de preuves électroniques transfrontalières dans les affaires pénales.
L’événement a été organisé par le programme EuroMed Justice (EMJ) en étroite coordination avec le ministère français de la Justice et sous la présidence française du Conseil de l’Union européenne.
Outre les participants représentant des États membres de l’UE et des PPS, la conférence a réuni des représentants d’Eurojust, du Réseau judiciaire européen, d’Europol, de l’agence de l’Union européenne en charge de la formation des services répressifs (CEPOL), du Centre de répression de l’Europe du Sud-Est, de la Direction exécutive du Comité de lutte contre le terrorisme des Nations Unies, du Conseil de l’Europe, de la DG NEAR, de la DG JUSTICE et des projets CyberSud et SIRIUS.
Le programme EMJ rassemble les parties prenantes les plus pertinentes pour développer un mécanisme régional durable pour la coopération judiciaire en matière pénale entre les États membres de l’UE et les PPS (Algérie, Égypte, Israël, Jordanie, Liban, Libye, Maroc et Palestine*). Il est géré par Eurojust.
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